Tétanisée [Griffe de lune]

Un matin où le soleil venait de ce lever PLeine lune partit à la chasse mais se fut plus une promenade pour elle, elle trottinait regardant à droite, à gauche, admirant le paysage, elle s'arrêta même pour écouté le chant des oiseaux et pour sentir la fraiche brise du matin qui soufflait sur elle soulevant son pelage et fesant parcourir un frisson tout au long de son échine la saison des neiges n'était pas loin. Les feuilles rougâtre des arbres commencèrent à tomber une par une dans un tourbillon de feuilles mortes emportées par le vent. Puis vint un endroit au hautes herbes certaines douces au touché et d'autre qui resté agrippé à son pelage, la terre était humide et quelques flaques brillait sur le sol. Le levé du soleil éclairé la prairismontrant la pluie de la veille, l'herbes était parcemer de goutellettes, PLeine lune trouvait ça magnifique et monta sur un tronc d'arbre au sol derasiné depuis longtemps, elle leva la tête pour voir où elle été et vit un champ à perte de vu, elle faillit perdre équilibre à cause du léger vent qui commençait à arrivé. Tout en fermant les yeux elle huma l'air , tout d'abord elle cru sentir l'odeur de ces parents mais ensuite une autre odeur vint lui chatouillé ses narines celle d'un mulot qui n'était pas loin. Pleine lune aurait bien voulu lui sauté dessus pour l'achevait et e ramené au clan mais quelque chose effraya l'animal dodu qui se réfugia dans son terrier, étonné et dégouté d'avoir manqué sa proie elle reprit tout depuis le début. Seulement au lieu de sentir le gros mulot et y décela une autre odeur qui été lointaine mais qui se rapproché de plus en plus,l'odeur lui été familière ce qui l'inquiété le plus c'est qu'elle ne venait d'aucun chat d'aucun des clans, elle ouvrit grands ses yeux et scruta du regard quelque chose ou quelqu'un, il y avait bien quelque chose qui courait dans l'herbe: deux gros chiens robustes qui courait droit vers elle l'un d'entre eux été grands et musclé et l'autre un peu plus petit mais à la machoire dur et des croc acérés... Pleine lune aurait bien voulu s'enfuir en prenant ses pattes à son cou mais elle resta là, tétanisée, sa respiration s'accéléra d'un coup mais elle ne bougea pas d'un poil pourtant elle n'avais jamais vécu ça....

Le soleil pointait sur l'horizon, petite tâche d'or liquide posé sur la ligne pâle du jour s'annoçant. Seul en terrain ennemi, le guérisseur devait faire vite. Aussi discret qu'une ombre dans le jour pointant, il avnçait, gracile au milieu des hautes herbes sèches de la prairie. Pourquoi était-il là ? Il avait prévu ses excuses : un guerrier gravelment malade au sein de son clan et les plantes nécessaires n'étaient censées pousser qu'ici. Lamentable. Il en était tout à fait concient. Tout ceci n'était qu'une ignoble mascarade, car son seul objectif, sa seule espérance était de croiser Etoile de POllen, la délicieuse Meneuse du Caln du Crépuscule. Il n'était venu que pour ça. Ou du moins ceci en était le principal but. Bon. Il soupira devant tant de prévisibilité. Horrible. Jamais il n'aurait cru possible qu'il s'enticha d'une femelle, et encore moins d'une meneuse qui plus est d'un Camp ennemi. Trahison sordide. Jamais Son propre chef ne devait être mis dasn le confidence, personne. ersonne jamais ne devait savoir, n'avoir vent de leur union interdite. Concentré sur ses pas qu'il voulait encore plus dicret qu'à l'accoutumée si cele était possible, il n'avait pas remarqué encore la présence d'un félin aux alentours.Ombre noire à la patte blanche, il se fondait tout à fait encore dans l'aurore. Discret, il avançait. Laissant derrière lui le doute, et les aprhensions diverses. Juste elle. Son ombre simplement suffirait. Son odeur avec laquelle il emplirait ses poumons de bonheur. Depuis deux lunes qu'il ne l'avit vue il pensait à elle. Il avit d'bord pensé couper les ponts... et puis non. Trop difficile. Il soupirant une enième fois, espérant que de ce soupir naitrait une prise de concience. Mais il le savait, il ne pouvait plus compter sur son instinc qui jusqu'alors avit était infallible, car c'était justement ce dernier qui poussait le jeune mâle vers Pollen.
Des aboiments au loin le rappelèrent sur Terre brusquement. Au loin ? Il n'en était pas si sur. Ils se rapprochaient rapidement de lui, trop rapidement. Allons bon. Ils devaient être au moins deux. Peut-être plus, mais ce serai vraiment étonnant. Il souriat : la meilleure nouvelle qui serait capable de le décentrer d'Etoil e de Pollen !! Réffléchissant rapidement à un plan défensif, il perçu la plainte affolé d'un autre félin. Surement la trace de celui qu'il avaiot sentie quelques minutes auparavant. Les jappements se faisaient de plus en plus proches, aussi, prenant son courage et sa raison fermement, il pris la direction du félin. Il eu d'ailleyrs tôt fait de le trouver. Une femelle. Du Crépuscule déduit-il. Sa première peur fut Pollen, mais en goutant bien l'odeur qui afflauiat vers ses narines, il lui paru evident que non. C'était une autre. Une autre guerrière du même clan... Annalyse rapide de la situation : deux molosse avait reperé la guerrière, et menaçant s'approchaient d'elle avec vigueur, leur salive écumant autour de leurs crocs luisants. Jamais Griffe de lune n'avait eu aussi peur dans sa vie. Il vit d'ailleurs cette dernière défiler devant ses pupilles à demi fermées en une seconde. Quelle vie de merde pensa-til ommettant d'égarer son esprit vers la reine de son coeur. Un battement de paupioère, un seul. Il eut à peine le temps de réfléchir plus, longuement. L'un des deux molosses s'élançait sur la reine tounours prostrée de frayeur. Il bondit, boosté par une peur tangible, plus vivement que jamais encore par le passé, atterrissant auprès de la femelle, la poussant de toutes ses forces.

Cours !!!

Hurla-t-il dans son oreille, et sans attendre qu'elle comprnne, s'élança, la possant toujours vers l'abre le plus proche. Il fallait par tous les moyens qu'ils grimpent la haut, sinon, s'en était fini d'eux.

[Merci Griffe de lune:) je sais j'aurais du courir u_u mais seulement voilà j'ai oublié mon cerveau au camp ;p]

Pleine lune vit un éclair noir qui se faufila dans la forêt l'avertissent du dangé qu'il y avait et qu'elle resté toujours à découvert. Elle secoua nerveusement la tête après avoir entendu un autre félin hurler, puis elle bondit du tronc, sur lequel elle était resté tétanisé, et il se fallut d'un poil et un molosse se jeta sur l'une des branche où quelque seconde avant se trouvait la jeune chatte. Elle entendit les crocs claquer dans un bruit assourdissent qui la fit frémir. Le lieutenant ne se retourna pas, et fila à toute vitesse vers l'endroit où l'autre chat s'était réfugié. Mais un problème s'imposa, les chiens finiraient bien par les lacher, seulement il partirait en direction du camp, Pleine lune ne voulait mettre aucune vit en danger et se contenta de hurler au guerrier:
[size=18][center]Je vais les faire changer de chemin, tu viens avec moi? Si c'est oui alors ossupe-toi du deuxième![/center][/size]
Ne se doutant guère que c'était un guerrier ennemi, elle dérapa, fit volt-face et retourna près du vieux chêne où plusieurs brindilles étaient entortillés les unes aux autres. Elle chercha les molosses de vues et en vis un qui courait à toute vitesse droit devant elle, elle se fraya un chemin entre ses pattes et le fit trébucher.[i]Les chiens sont si stupides[/i] pensa-t-elle. Cette minute d'inattention la fit se retrouver en face de l'autre canidé et l'évita de justesse en le contournant en un bond, ce dernier tenta de la morde à plusieurs reprisent, elle sentit sa mauvaise haleine près de son museau. La gueule de l'aimal se referma en un claquement qui fit frémir l'échine de la jeune chatte, sa grande bouche aux dents acérées avaient fallit couper les moustache de Pleine lune, celle-ci écarquilla les yeux mais reprit vite ses esprit et continua de courir le plus vite possible, en jetant parfois un coup d'oeil pour voir s'ils sont toujours derrière. Elle était face au vent se qui l'empêcheait de savoir où étaient vraiment les chiens. A la fin de sa course, elle sauta sur un tronc déraciné où plusieurs ronces c'était étalé autour de celui-ci. Le lieutenant s'assit et attendit que l'animal qui la poursuivait arrive. Elle entendit ses lourdes pattes se rapprochés de plus en plus puis plus rien. Elel se leva les oreilles aux aguets, puis huma l'air, ses bruits avait peut-être disparu mais son odeur était toujours là. Elle se retourna et vit un éclair marron: le chien avait sauté sur elle. Mais elle esquiva pour se réfugié dans les racines du tronc, l'autre la suivit: il avait assez de place pour passé. Pleine lune ne cessait d'avancer et le tronc de se rétrécir, la guerrière commençait à manquer de place et l'animal derrière elle couinait: il était coincé. La jeune chatte gratta l'écorce et finit par faire un grosse fissure qui lui permis de sortir.
Elle rebroussa chemin et retrouna à l'endroit où elle avait vu l'autre guerrier pour l'attendre à son retour. (L'autre chien avait aussi disparu)

Sous le ciel qui se teintait d'ambre, il courait à en perdre haleine, un molosse impressionnant à ses trousses. La jeune femelle avait disparue de son champ de visio, mais il percevait toujours sa respiration altérée par la terreur par delà les buissons qui les séparaient. Le deuxième chien, aussi imposant que son acolyte était assurément encore aux trousses de la guerrière. Le guerisseur tenta de faire abstraction de la situation avec son calme accoutumé, mais cela lui fu pour la première fois de son existence totalement impossible. Il ne parvenait absolument pas en cette situation critique, à se concentrer sur une échapatoire possible. Première fois de sa vie que son sang se glaça à l'intérieur même de son coeur. Il avait peur. Départi de son sang froid habituel, ses pensées étaient accrochées au dernier souvenir qu'il avait de la reine roux pâle, d'Etoile de Pollen... Il mourrait avant de l'avoir revue. La panique... Pourtant, il avait réchappé à pire, mais cette fois là, sa lucidité était comme paralysée. Pourtant, il avait eu la présence d'esprit de faire déguerpir la guerrière du Crépuscule... Il ne comprenait pas. Cependant, ses pattes avançaient seules, avalant toujours plus de terrain, sinuant le long des sentiers tortueux, zigzagauant entre les troncs bruns qui se découpaient en ombre noires dans le ciel du jour naissant, où la tâche d'or liquide du soleil s'était encore agrandie... Il courait, courait toujoursn sans avoir besoin de se retourner pour savoir que le molosse était toujours à ses trousses, se réjouissant plus qu'aucun autre de cette traque improvisée... Deux chats pour le prix d'un... Il devait être fier de lui, ou peut être pas. Juste une coincidence, une simple aubaine pour le canidé sanguinaire à la langue pendante qui le talonnait de près. Soudainement, Griffe de Lune entrevit la solution de ce traquenard, oui, la solution était là, toute proche. Il ne pouvait certes pas oublier un instant sa promise, son image vissée à sa rétine, cependant, il ne lui était pas impossible de réfléchir en même temps. De lpus, la vision seule de la silhouette de sa bien aimée le motivait... oui, il commençait à entrevoir l'échapatoire.... Seulement, il ne faut pas regarder dans les yeux une idée en pleine formation, non. Il faut la laisser germer, la regardant d'un oeil et feignant de ne pas lui éprouver un quelconque interêt. Et elle grandissait, à vue d'oeil. Elle grandissait. Elle grandissait. Elle grandissait. Elle grandissait. Elle grandissait. Elle grandissait.
Dans sa précipitation, le jeune guerisser braqua son regard sur cette idée nouvelle, toute jeune, et encore frêle, telle une goutte de rosée éphémère suspendue au pétale velouté et satiné ud'une reine marguerute un matin de printemps. Il la dévisagea, essayant de la comprendre avant terme ; de ce fait, appeurée plus qu'une loutre craintive, cette dernière s'évanouit à l'instar de tous les rêves inacsessibles. Il en feula de frustration. Ne pouvait-il pas attendre necore quelques secondes ? Non, car s'il ne réagissait pas de façon fulgurante et efficace, il sombrerait entre les crocs de l'impitoyable animal qui lui faisait chasse. Ce dernier s'était en effet énormémnet rapproché du guerisseur, qui sentait désormais le souffle rauque et bestial du carnassier sur son pelage d'ébène. Que faire ? Il avait oublier ce qu'il cherchait, et savait pertinemment qu'il ne tiendrait plus longtemps en echec son poursuivant. Un arbre à l'épais tronc brun se dressa devant lui, ses branches basses et clairsemées s'offrant à lui comme autant de bras protecteurs qui le graderaient en leur sein, le tenant hors d'atteinte du chien déterminé à lui faire la peau.
Confiant, toujours lucide, Etoile de POllen guidant ses pas, partageant sa conscience, image de gloire et de beauté, il s'élança sur l'écorce rugueuse, grimpant de toute sa maigre force. A l'assaut de l'arbre inné, centenaire gardien des secrets forestiers, il maonta, monta, griffant au passage la peau durcie de son sauveur jusqu'à une branche sûren hors d'atteinte du molosse. Là, haletant, il guetta les bruits de la forêt, cherchant à trouver la femelle qui elle aussi avait été courcée. S'en était-elle sortie elle aussi ?

Le temps passait, il était long, très long, trop pour la jeune guerrière qui attendait toujours l'autre chat qui l'avait aidé. Elle se coucha entre deux racines d'arbres et attendit. Le soleil était maintenant à son zénit et le guerrier n'était toujours pas là. Pleine lune ferma les yeux un bref instant et s'assoupit.
Elle était en face d'une chatte blanche comme la neige, celle que l'on voit tomber pendant les saisons froide, comme elle le disait. Le doux parfum de l'animal lui chatouilla les narines, elle en reconnus sa mère. Celle-ci se tenait un peu plus loin d'elle, dans un amas de fleurs sauvages viollettes et roses, mais ne parla pas. Son visage appaisait Pleine lune, l'autre chatte se contenta de souriait et de l'a dévisageai. Elle se bonba le torse et expira un bon coup, avant de montré le ciel. C'était la nuit, le soleil avait disparu, laissant place au très fin croissant de lune haut parmis les étoiles. Ce dernier rappellait les longues griffes qu'ont certains chats sauvages. Pleine lune ne comprenait pas, elle rabaissa sa tête tout en se tournant vers sa mère d'un air interrogateur. "[i]Pourquoi me montre-t-elle ceci?[/i]" se demanda-t-elle. Et quand elle eut posée les yeux la chatte blanche, elle eut le temps de voir un lueur se dissiper peu-à-peu en une légère brise qui lui fit soulever le poil. Pleine lune ne tenta pas de rattraper sa mère puisqu'elle avait déjà fait ce genre de rêve. Elle se contenta de fermer ses paupières et de respirer une dernière fois l'odeure rassurante de sa mère.
Elle ouvrit grands les yeux quand elle se rendit compte qu'ils se fesaient tard, le soleil n'allait pas tardé à se coucher, elle s'étira longuement les pattes avant puis les pattes arrières et commença à tourner talons pour rentrer au camp. Elle se rendit compte d'une chose, elle avait oublié de voir si l'autre guerrier était toujours en vie ou non. Elle avait le choix partir à sa recherche, ne sachant même pas par où, ou l'attendre sagement. Après mûr réflexion, elle pris la 2° solution et se rassit près de l'arbre où elel l'avait vu pour la dernière fois, repensant aussi au rêve. "[i]Pourquoi la lune en forme de griffe?"[/i]

La souffrance est parfois le long chemin de croix à suivre pour atteindre la paix.

Le soleil était déjà parvenu au sommet de sa course, joyaux étincelant à son zénith. Etendu sur la grosse branche noueuse qui l'avait sauvée des crocs déchirants du carnassier qui, lassé l'avait abandonné là, Griffe de Lune serein observait le ciel de ses iris pâles. Il avait cessé de guetter les bruissements dna sles feuilles de chaque arbuste, il avait cessé de rechercher une respiration dans les environs. La sérénité était de nouveau revenue en son sein, prenant à elle seule plus de place que le matou lui même. Il ne pensait à rien de particulier, laissant divaguer son esprit au fil des nuages dans le ciel dépourvu de nuages. Il soupira, la réalité le tirant par les pattes, voulant le trainer au bas de son refuge si sur. Il devait découvrir ce qu'était devenue la femelle. S'en était-elle tirée aussi bien que lui même ? Le guérisseur n'en savait fichtre rien. Un deuxième soupir, lui échappa, mais plus meusuré.
Il se redressa, étirant sa colonne vertébrale rouillée. Ses pattes le lançait par trop stimulées par cette cavalcade imprévue. Laborieusement, il descendit de son perchoir sur lequel il n'était resté juché que trop longtemps. Un pas après l'autre, il parvint à retrouver sa stabilité. Il n'aspirait plus qu'à un bon somme, mais l'inquiètude qui éprouvait à l'encontre de la guerrière le tenait éveillé. Il lui serait surement plus utile à terre qu'étendu sur la fourche inconfortable d'un chataigner. Aller... Fermant, les yeux, il prit une longue inspiration, hinalant au passage l'odeur âcre et encore forte que les molosses avaient laissées derière eux. Cependant, avec toute la concentration dont il était capable, le jeune guérisseur décela la trace de celle qui cherchait. PLus simple qu'il ne l'avait prévu, il n'aurait qu'à suivre sa piste laquelle était toujours imprégnée de l'odeur de terreur que la femelle avait due ressentir. Et il la comprenait tout à fait. Lui aussi, avait eu des plus grandes peurs de son existence entière, et cette dernière n'avait pas était des plus trnaquille, nin des plus roses. Le fumet s'épaississait, et les pupiles toujours à demi fermées, Griffe de lune poursuivait se recherche. Il finirait bine par la trouver... Et s'il ne lui remettait pas la patte dessus, il s'en irait au campement du Crépuscule donnait l'alarme. Il fallait bine qu'ils sachent que deux énormes carnassiers vagabondaient en toute liberté sur leur précieux territoire quelque peu devenu incertain par cette présence. La campement... "Non !!" s'empressa-t-il de se réprimander, il n'irait pas pour la voir elle, mais pour les prévenir, et uniquement pour ça. Il poursuivit sa piste, tous ses sens en alerte.
Il contourna l'épais tronc d'un chêne noueux, puis passa entre deux énormes rochers.... Enfin, il se faufila entre les feuilles cuivrées d'un buisson d'aubépine et... il la vit. Elle était là. Enfin, pas Elle, mais la femmelle qu'il chercj=hait depuis le matin, nonchalement assise entre les racines sinueuse d'un grand arbre bicenteniare au moins.
Aussitôt son masque rigide et indiférent se ré-installa sur son visage, et il s'avança vers elle.

La jeune chatte se redressa d'un bond après avoir entendu les buissons crépiter, son poil était hérissé et s'attendait à ce que son assaillant lui saute au coup mais dans l'odeur que celui-ci dégageait, elle ne sentait aucune agressivité. Son pelage retomba quand elle le vit surgire des buissons. Pleine lune ne bougea pas, mais son corps se crispa quand elle vu bien sa tête; il resta indifférent comme si rien ne c'était passé. Ce qui n'as pas plus à la jeune lieutenant, elle bondit vers lui, et le fixa d'un regard provoquateur. Quelques secondes passèrent, et elle était toujours dans la même position, pour l'instant aucun de ses membres bougé juste sa réspiration normal. Elle fit un pas en arrière, s'assit et commença à se lécher la patte avant, qui avait été un peu égratiné dans son passage dans les ronces. Quand elle reposa celle-ci, elle regarda l'autre guerrier, il empestait l'odeur d'un clan ennemi. Elle aurait pu lui sauter au cou et lui briser la nuque mais quelque chose l'en empêchait, peut-être serais-se à cause de son aide? Elle se contenta de lui dire quelque mot:
"- [size=18]Que fait-tu ici? Et pourquoi es-tu venu?[/size]"
Elle ne lui laissa pas le temps de répondre qu'elle reprit:
"-[size=18]Enchanté, moi c'est Pleine lune. Je ne t'ai jamais vu? Es-tu déjà allé dans une assemblé? Pourquoi es-tu si froid? Oh... Excuse-moi pour toute ses questions, je crois que je suis un peu trop curieuse.[/size]"
Elle grimaça et recommença à lécher sa patte, comme pour faire passer la douleur ou de refermer la plaie. Puis ses oreilles frémirent quand Pleine lune se rendit compte qu'elle devait vraiment rentrer au camp, la nuit venait de tomber. Elle se leva d'un bond, fit volt-face mais perdit équilibre et retomba lourdement au sol. Sa patte venait de lacher sous son poid.

La solitude est elle le seul moyen qui me soit offert pour préserver ma vie ?

A peine aparut-il dans la lumière que la guerrière blanche bondit sur ses pattes, et aggressive l'assaillit de dizaines de questions. Le guerisseur, impassible attendit patiement, sans rien montrer, que ce flot de paroles vibrant se tarrisse. Il attendrait le temps qu'il faudrait.



Percé à jour. Il sentait l'odeur distinctive de son propre clan bien sur. Et il n'était pas chez lui, pourtant, malgré les miliers de réponses qu'il avait envisagées, il ne savait que répondre... Après tout, il n'aurait pas du se trouver là... De sa vois grave et apaisante, il lui répondit le plus calmement du monde :



D'un geste nonchalent, il se redressa, braqua sur la guerrière son rgard d'argent pur. Il étira ses pattes avec une lenteur considérée, puis repris la parole devant le silence de l'autre.



Sur ses dernières paroles, son regard avait été perdu dans le vague, comme si il se parlait seul, comme si Pleine Lune n'avait pas été en face de lui, comme s'il voyait dans un autre monde. Il secoua la tête, puis planta ses yeux dans ceux de la chasseresse immaculée, comme pour la dissuader de l'empêcher de retrouver celle qui faisait battre son coeur depuis deux lunes.

Pleine Lune savait qu'il n'avait pas tort sans lui, elle ne serait plus le lieutenant du Clan du Crépuscule. Elle lui devait donc la vie:
" [i]Je vous remercie pour votre geste mais j'aurai très bien pu m'en sortir qui sait... Vous vouliez voir Etoile de Pollen c'est cela? Et bien suivait-moi..."[/i] Ses yeux bleu glacé étaient plongé dans ce de Griffe de Lune, puis lui revient son rêve "[i]Le croissant de lune formait une griffe... Etais-ce de Griffe de Lune? Surement, mais mieux vous pas répéter ceci à un ennemi, mais il m'a aussi aidé... Mince chui bloqué..."[/i] pensa-t-elle. Elle le fixait toujours et lui aussi d'ailleurs, son regard froid lui l'effrayait mais elle ne le montrait pas.
Il y eut un moment de silence, puis Pleine lune laissa echapper un soupir:
" [i]Votre façon de me regarder me déplait."[/i]
Elle parlait bizarement. Quelque fois elle s'étonnait elle-même, elle parlait comme son père cette fois-ci. Finalement elle fixa un point invisible derrière Griffe de lune, puis répéta le nom:
"[i]Griffe de Lune[/i], reprist-elle pensive. [i]Joli, vous êtes guérrisseur c'est cela?"[/i]
Sa voix ne portait aucune agressivité, elle resta tout simplement neutre. Voyant qu'il ne lui répondait pas et que dès qu'elle entendit ce guerrirer prononcer le nom de son chef, elle le vit pensif. Pleine lune tourna talon, et jeta un dernier coup d'oeil au félin. Elle savait par ailleurs qu'il allait la suivre, alors elle s'élança dans la forêt en courant à toute vitesse pour rejoindre son camp. Certe elle reveillerait son chef pour un rien mais il fallait qu'elle lui raconte ce qu'il s'était passé.
Elle arriva au camp hors d'haleine, et se dirigea vers la tanière de son chef, d'un pas lent mais déterminé. Des questions se posèrent dans sa tête, puis la secoua pour les faire partir, elle y réussit sauf une qui lui chatouilla ses lèvres: Pourquoi Griffe de Lune viendrait-il lui parlait? Puis elle repensa au chat au pelage noir, elle ne savait pas ce qu'il était devenu, s'il avait suivi ou tout simplement s'il avait rebroussé chemin de peur qu'elle ne le dénonce; "[i]Non, il n'aurait pas fais ça ou plutôt il n'aurait pas voulu![/i]"
C'était plus fort qu'elle, elle fit volt-face et courut vers la sortie du camp, elle se cogna à quelque chose qui la fit rouler dans la poussière, elle se releva, s'ébroua et regarda son l'animal qui se tenait devant elle, elle boitilla vers lui et s'assit devant.

Regarde vers le ciel et ton esprit te gidera jusqu'à moi...

Un léger sourire se dessina sur les traits de glace du guérisseur. Le vouvoiement récent de la leiutenante lui semblait la meilleure des plaisanteries, et pour ma première fois depuis longtemps, il fut pris d'un rire, discret, qu'il eut bien du mal à dissimuler. Il ne voulait pas être désagréable, mais il trouvait la situation tellement drôle qu'il ne pouvait se contenir....
Reprenant enfin contenance, il transperça de son regard de gel la rien blanche assise dzevant lui qui attendait avec patience une réponse de lui. Elle voulait le guider jusqu'à leur camp... Hélas, était-il bien prudent qu'il s'y rende, annonçant aux yeux de tous, dans une fôret qui entammait tout juste une nouvelle ére de paix, qu'il bravait déjà, les interdits ? Non. C'était déraisonnable. Lui, et la meneuse du Clan du Crépucule... Etoile de Pollen... Pourquoi toutes ces barrières entre eux ? Pourquoi était-ce si compliqué ?
Avec un soupir, il hocha la tête en signe de dénégation. Puis, de sa vois grave et suave ajouta :



Lui n'avait rien à perdre, mais Etoile de Pollen ? Elle avait un poste, un clan, à sa charge... Elle avait en core toute une vie devant elle. Lui sa vie venait de renaitre, mais devaitè-il pour son bonheur sacrifier celmui des autres ? Indécis, il restait planté là, sous le regard perplexe de Pleine Lune qui assistait à la dure bataille de son esprit contre ses doutes...
Et elle ? Quand pensait-elle ? Surement comme les autres : ce n'est pas raisonnable, c'est même au dela de ça : c'est condamnable... Le félin xcouleur de nuit poussa un enième soupir, son regard clair perdu dans le vague... Il n'avait plus envie de rien sinon de LA revoir.... Et puis cette Pleine Lune avait l'air plutot amicale, malgré qu'elle ne parraisse pas pour le moins cordiale. Oui, il irait avec elle, ainsi il irait plus vite et cela lui éviterait d'être surpris comme un intru...



Il redressa son dos, ses pattes, sa tête de toute leur longeur. IL parraissait grand, fier dans sa coquille, mais il ne devrait en aucun cas oublier son rôle : il était venu en tant que guérisseur du Clan de la Pluie, clan ennemi... et non en tant que soupirant éperdu de la meneuse du Crépuscule.

PLeine lune lui fit un grand sourire avant de filer droit au camp, elle courait vite et s'avait que Griffe de Lune la suivait. Enfin arrivée à l'entrée du camp, elle décida de le laisser passer en premier:

" Voulez...euh.... Veux-tu voir Etoile de Pollen en premier? "

Elle grimaça en le tutoyant, elle avait du mal. Et sans s'en rendre compte elle avait dit ça avec quelques sous-entendus, mais ne voulait surtout pas le vexer. Ses yeux bleus fixait le guerrisseur, elle avait peur de sa réaction, peut-être allait-il se mettre en colère, peut-être allait-il tout simplement rester neutre. Elle n'en savait rien.

OK ^^

Viiiw^^
Je le fais si quelqu'un ne l'ai pas déjà commencé :3

EDIT : C'est fait ^^
Je vous met le lien -->Iciiw <3

[A locker]

[la même chose que dans "Petite promenade..."...]