Suite du Rp avec Feu Sauvage

[ J'ai qu'a te revoir, on a qu'a dire que tu t'étais perdu en voulant rentrer chez toi ]


Je rentrais vers chez moi. Le bercail. Je devais passer par la forêt, maitenant il faisait nuit, je n'avais pas peur, je connaissais bien la forêt, même tous les autres territoires. Je marchai tranquillement en repenseant à cette journée, a Feu Sauvage, à ses paroles et à ses deux caractères complètement différent. Conseiller, ils en ont de ses mots... J'aimerais bien rencontrer un jour son chef. Le clan Des Tenebres, il a interêt à ne pas nous poser de problèmes. Tout de façon le clan de l'Aube sera toujours en mesure de se défendre.

Je pensai quand j'entendis un bruit étrange, des pas de chat ! Qui c'est ? Je sauta sur l'animal et roula avec lui dans la pénombre jusqu'a un bout de clairière ou la demie-Lune éclairait. Feu Sauvage ? La tête qu'il faisait, tout inquiet. Sa me fit rire.

-Mais qu'est ce que tu fais encore là

On m'interpella, je cru que c'était un autre chat sauvage, mais non c'était juste la chatte que j'avais rencontré tout à l'heure. Je pris une moue désèpérée et je m'avança vers elle, qu'allais-je inventer. Nan je n'allais rien inventée et dire la véritée. Je me rapprochais fièrement mais au dernier moment je me recroquevilla, un peu honteux de ce que j'allais dire.

"Mais qu'est ce que tu fais encore là?"

Ah mon humble avis, elle n'était pas très contente de m'avoir revu, je la fixa mes yeux vert était sans doute appeurés et je baissa la tête, avant de murmurrer:

" Je... Je me suis perdue."

Je parlais comme un chaton sortit de la pouponière, pomé dans la forêt. Ce n'était pas de ma faute, bon d'accord je lui ai promis de ne plus jamais revenir sur son territoire, mais comme je suis nouveau, je suis totalement déboussolé. Où suis-je? Alors ça je n'en sais rien, juste quelques par dans une forêt, sûrment loin de chez moi. J'avais honte, comment pouvais-je me perdre?

"Excuse-moi, je ne voulais pas revenir sur ton territoire, et là je ne l'ai pas fait exprès. Tu sais je te l'ai dit tout à l'heure je suis nouveau, et je ne connais pas les frontières."

Je disais ça la tête et la queue basse, elle pourrait se moquer, mais pourvu qu'elle m'aide à retrouver mon chemin. Je la regarder une moue à la fois emplit d'espoir et couvert de honte. J'attendais sa réaction...

Je n'en croyais pas mes oreilles, la gueule ouverte comme un O, je décidai de le croire vu qu'il avait l'air sincère mais il avait interêt à l'être ou il n'aura plus de yeux pour voir ou il est. Je lui dis avec un sourire :

- Vous êtes bizarre chez vous... Nouveau mais lieutenant... Euh pardon. C-o-n-s-e-i-l-l-e-r !
J'appuya bien sur le dernier mot. C'était ironique, ce n'était pas pour me moquer. Avait-il compris ? Un " souvenir " me frappa. Je ris toute seule. Il ne savait même pas comment je m'appelle, et oui si il est nouveau il ne connait pas les noms des chefs, et je ,e lmui est pas dit. En rigolant je dis :

- Au fait moi c'est Etoile D'esprit.

Elle s'appelait donc Etoile D'esprit, et elle se moquait royalement de moi. Bref, je l'avait bien mérité non? C'est vrai que dès qu'elle est arrivé pour me chasser de son territoire, je lui ai répondu que j'étais partout chez moi. Je rougit, honteux de moi même.

" Moque-toi je m'en fiche... Moi aussi, figure-toi que l'on m'a nommé conseiller, alors que je ne m'y attendait pas du tout. Maintenant j'ai l'air de quoi... D'un chaton pomé, en face d'un blaireau aux griffes acérés et mortelles..."

Je me laissa tomber sur le flanc, et fixant le vide mes yeux se voilèrent. Non je n'étais pas vexé d'être insulté, mais juste déçu d'avoir un grade assez haut et de me perdre en forêt, qu'allait donc dire mon superieur? Je ne pensais qu'a ça, elle pouvais m'achever si elle voulais, je m'en fichait royalement. Puis je me releva décidé:

" Je vais tenter de retrouver mon chemin et là tu peux être sûr de ne plus jamais me revoir."

Je bafouillais légèrement, et je partit la queue et la tête toujours baissés. Je commença à marcher tout droit et me prit un arbre en pleine face.

FLASHBACK
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Ma soeur a été enlevée par un chat ennemi, elle hurlait sa mère, se qui me fendit le coeur. Le félin venait de l'assassiner, et moi comme un idiot je le suivit pour essayer de récupérer ma soeur vivante. Il m'emmena dans un endroit qui m'étais totalement inconnu, je continuait à le suivre. Guidé par les cri que poussait Petite Graine, le guerrier ennemi s'arreta, et m'attendit, je le savais car les hurlements étaient de plus en plus proche. Je me suis retrouvé en face de cette être sans coeur aux pelages noirs comme les plumes de corbeaux. En ce temps là, je n'étais qu'un petit chaton, qui allait dans une lune sortir de la pouponière pour être nommé apprenti. Mais ce ne fut pas le cas, et je m'en estime heureux de m'en être sortit vivant, pas comme ma soeur... Le chat noir me donna un grand coup de patte sur le derrière de la tête. En un instant tout était noir, je ne voyais plsu rien. Quand je me réveilla, je cru être devenu aveugle, mais non en fait la nuit était tout simplement tombée. Puis le soleil se leva peut après et tout le monde autour de moi s'éclaircit. Je commençait à perdre la vue, ça a commencé par le trouble de la vue pendant chaque nuit. Et celui-ci augmentait chaque soir. Aujourd'hui je vois très peut les nuits, je ne vois qu'une petite tache de lumière, sinon c'est le noir complet. Ety ça personne n'en étais au courant, je me guidé par mon flair.--------------------
Je secoua la tête après être un peu sonné, se prendre un arbre non mais là ma honte grandisait encore plus.

Quand je parlais, il ne me regardait pas présicément. Cela était étrange. Sa me rapellait quand j'avais rencontre un chat qui étaut aveugle la nuit. Enfin tellement que c'était sombre il n'aimait pas et ne voyait plus rien. Sa vue revenait quand le soleil se levait. Si c'était pareil pour lui ? Je lui dis un peu déboussollée :

- Je ne me moque pas de toi. Attends jte racompagne jusqu'a la fin de nos territoires, conseiller !

Tout d'un coup il se prit un arbre. Je marcha vers lui d'un air inquiet et lui dis avec hésitation complète :

- Sa va ? Dis tu vois bien dans la nuit...enfin


Tellement rouge de honte d'avoir posé la question je me tus et attendis...

Je me releva tant bien que mal, me retourna vers Etoile D'esprit, la cherchant du regard. Je ne la voyait pas bien et cela me gêné beaucoup:

"Sa va ? Dis tu vois bien dans la nuit...enfin"

Cette question a dû la perturber, je l'entendait dans sa voix. J'huma l'air pour la chercher, je ne savait plus si elle se tenait devant ou derrière moi, l'arbre m'avbait complètement déboussolé. Je sentait que mes yeux s'carquiller mais je ne pouvais pas les en empêcher. Puis je secoua lentement la tête, pourquoi devrais-je lui dire la vérité, je la conais à peine et on n'ai pas très ami-ami.

"Oui, ça va. Je vois très bien. Et arrête de m'appeller Conseiller, j'ai un nom tout de même."

Ma voix me parut légèrement hésitante, j'avança encore de mon plein gré, et mes pattes se prirent les racines d'un arbres. Je tomba à la renverse, m'affalant de tout mon long, j'entendais tout, je sentais tout, mais je ne voyais rien. Ma respiration s'accélérait, je ne voulais pas lui dire la vérité. Je tremblait, et chercher vainement quelqu'un du regard. Je voulais tellement voir quelqu'un te si je n'avais pas aidée ma soeur, je n'aurai pas été dans cette état, de toute façon si j'étais resté dans mon camp, je serai maintenant mort. Mais bon, on s'en fiche. Je souris à la meneuse, qui m'avais proposé son aide pour me racompagner jusqu'à sa frontière.

" Ton aide ne me serai pas de refus. Où est-tu?"

Ton aide ne me serai pas de refus. Où est-tu?"

Quoi ? Ce chat avait un vrai problème. Je restai plantée là quelques secondes. Je ne savais pas quoi dire. Je le voyais en train de chercher, de flairer mon odeur. Je lui dis d'un ton inquiet, car vous savez, je ne le deteste pas du tout :

- Mais enfin je suis juste devans toi !

J'étais à deux mètres de lui, même pas. Je tendis ma patte puis fis signe de se rapprocher. Il avait quelque chose chez lui d'étrange. Vraiment. Nous devons bientôt arriver à la frontière mais si cela continuer comme sa, nous y serons quand il fera vraiment nuit.

Quoi? Devant moi? Mais je ne la voie pas. Et merde, je ne vois plus rien, ça devait arriver un jour au l'autre. Je flaira son odeur, oui il est vrai qu'elle était juste en face de moi. Je soupira, mi-soulagé qu'elle ne met pas abandonné, mi-triste car j'avais perdue la vue dans le noir. Je sentais sa patte mais je ne savais pas ce qu'elle voulais.

"Oui, excuse-moi je ne t'avais pas vu."

Je pris l'air gêné. Elle a dû se dire pourquoi je faisais ça. Mais bon bref. Elle me racompagnera c'est mieux que rien.

Il ne m'avait pas vu ? Hum, bizarre mais je n'insiterais pas. Je me mis devant lui et lui fis comprendre qu'on reprenait la route, on se remit à marcher. Quand je vis le tronc coupé d'une manière spéciale, dans cinq minutes nous serons arrivés. Eh oui je connais la forêt presque par coeur, je sais. La nuit était presque tombé. Nous étions dans la pénombre, la demie-lune nous éclairé à peine. Quand je sentis une odeur, sa y'est nous n'étions plus sur mes territoires. Je lui dis :

-C'est là que nos chemins se séparent. Au revoir jeune chat. Encore

C'est décidé, j'attendrais le lever du soleil pour partir. En attendant, il faut que je lui demande la permission de dormir sur son territoire. Donc, je devrais tout lui expliquer:

" J'ai une dernière faveur à te demander. Puis-je dormir entre les racines d'un de ces arbres? Je t'expliquerai pourquoi si tu m'en donne la permission. Je te promet de ne pas chasser sur ton territoire, de toute façon je ne pourrais pas."

J'attendait sa réponse, je voulais qu'elle comprenne ce que j'endurais la nuit une fois tombée. C'était une souffrance qui s'agrendissait chaque soir, la perte de ma vue s'aggraver. Encore aujourd'hui je vois bien le jour, mais il y aura un temps où il faudra que je rejoigne les anciens, mais ce temps là n'arrivera pas, j'en suis certain. Je suis conseiller, et si mon chef meurt je devrais, à mon tour, la succéder. Il fallait donc que je sois à la hauteur. Chaque nuit, j'exerçais mon odorat, pour qu'il s'affine le plus possible. Malheureusement, parfois je ne me concentre pas assez, et un viendra où, quand je ne serai pas sur mes gardes, une bataille viendra en pleine nuit, et nous combattrons le plus possible. Je supposes que quelqu'un profitera de mon handicap pour m'achever.
Même si nous nous sommes rencontrer dans de mauvaise condition, je sais qu'Etoile D'esprit est un bon chef, remplit de respect. Mais qu'allait-elle répondre, sachant que je l'avais un peu... provoqué tout à l'heure.

" J'ai une dernière faveur à te demander. Puis-je dormir entre les racines d'un de ces arbres? Je t'expliquerai pourquoi si tu m'en donne la permission. Je te promet de ne pas chasser sur ton territoire, de toute façon je ne pourrais pas."

Il ne voulait pas rentrer chez lui ? Drole de façon mais puis mince, il m'a promis, mais si je retrouve un poil de gibier avec son odeur dessus, le clan des Tenèbres en subira les conséquences.Je ne savais pas si je faisais le bon choix. Vraiment, parce qu'au début de cette rencontre... En tout cas il y a quelque chose qu'y s'est amélioré, il a demandé, cela veut dire qu'il pense moins à la phrase de sa meneuse adorée : " Je suis partout chez moi". J'espère faire le bon choix mais avant :

- J'accepte, mais pourquoi ne veut-tu pas repartir chez toi maintenant ?

J'allais tout lui avouer, elle n'avait pas l'air de comprendre, alors comme un âne je souris. je ne sais pas pourquoi ça m'a pris comme ça, puis je soupira et raconta tout à voix mi-basse:

" Et bien c'est simple, ce n'est pas que je ne veux pas retourner chez moi. C'est à cause d'un chat noir, de Clan ennemi, j'ai voulu sauver ma soeur. Mais cette stupide boule de poil m'en a empêché, je n'étais qu'un chaton encore dans une pouponnière en ce temps là. Il pas frapper derrière la tête, ça m'a assomé..."

Je pris une longue inspiration, le passage qui me plaisait le moins était sans aucun doute celui-ci. Je la regardait, les yeux larmoyant, tremblant légèrement:

" Quand j'ai reprit connaissance, il faisait nuit. Je ne voyais rien, j'ai cru, au début, qu'il m'avait rendu aveugle. mais plus tard le soleil apparu, et là tout es redevenu normal. Chaque nuit, ma vue baisse, et aujourd'hui fut le jours fatal, je ne vois plus la nuit. Avant je pouvais distinguer un peu ce qu'il y avait en face de moi. Mais plus maintenant, alors je voudrais attendre le lever du soleil avant de retourner dans mon Clan. Je ne veux pas que ma meneuse soit au courant de tout cela. Tu es la seule qui es au courant et... la seule à qui je peux faire confiance. "

Je la regarda l'endroit où j'avais entendu sa voix pour la dernière fois et à contre-coeur, lui lança:

" Je vais peut-être tout casser mais, pourrais-tu me guider jusqu'a l'arbre le plus proche de la frontière, je m'endormirai entre ses racines."

Je lui souris, même si elle n'était sûrement plsu à la même place, et me leva. La cherchant pour la énième fois du regard.

Ses explications me boulversèrent un instant, je savais que quelque chose clochait, mais pas autant. J'avais envie de faire quelque chose pour lui " Ba d'abord tu peux l'amener à l'abre le plus proche comme il demande idiote" pensai-je. " Euh ouais peut-être" Je lui dis :
- Euh... oui suis-moi.

Et j'arrivai à la frontière avec plusieurs arbres à mes côtés et avec ce guerrier que j'avais rencontré il y a peine deux heures, j'eu choisis le plus gros, et je l'emmena près de l'arbre. La pénombre avait laissé sa place pour la nuit complète, je devais y aller. Je lui dis :

- Euh... Je vais y allée... Si tu veux je peux aller prévenir ton chef, sans lui dire pourquoi que tu ne pourras pas revenir...

je la suivait sans trop savoir où elle était ni où elle allait. Elle s'arrêta devant un arbre, je le tatonnait pour en chercher ses racines:

" Euh... Je vais y allée... Si tu veux je peux aller prévenir ton chef, sans lui dire pourquoi que tu ne pourras pas revenir..."

Je ne dis rien au début, sans trop avoir compris la phrase. D'un coup je compris, fit volt-face en un éclair vers l'endroit d'où le son, et avec des yeux emplit d'inquiétude, je faillit en hurler:

" Surtout pas !!! "
Je resta hors d'haleine, je ne sais pas pourquoi. Puis me détendit:

" Je sais que tu n'aime pas qu'on te parle sur ce ton, mais c'était pour ton bien. Toi tu m'a aidé et là tu m'aide encore, alors que je suis sur ton territoire. Ma meneuse m'a apprit dès que je suis arrivé dans son Clan, qu'eux ils pouvait vagabonder sur les terrains voisins, mais que si le chats d'un de ces Clan, mettait une patte dans son territoire. Elle serait sans pitier et le chat serait dessuite condamné à la mort. Je ne veux pas qu'il t'arrive quoi que se soit alors que tu m'ai venue en aide."

Je lui souris, le regard vide.

" Très bien, tu peux t'en aller maintenant, mais je ne veux PAS que tu aille sur mon territoire, ça pourrait être fatale. Je sais, tu es une guerrière forte et accomplie, tu en ai même devenue chef, mais je te le répète, je ne veux qu'il t'arrive aucun malheur. Promet-moi de ne pas aller dans mon territoire."

Je lui dit ça les yeux emplit d'étoiles, et une moue inquiète aux lèvres. J'étais peut-être plus petit qu'elle, ce qui me ridiculisait un peu, mais ele était gentille et je l'aimait bien.

Wouah, la bouche grande ouverte que j'avais ! Comme il change de caractère l'animal ! Piouf sa devient même stressant. Je lui dis :

-Ok je te le promets, bon ba jte laisse...enfin pour se soir en tout cas... Au revoir

Je fis un signe de tête puis, je partis, les oreilles droites, les muscles dégourdis je fila dans la nuit en m'enfoncait dans la forêt. J'entendis encore quelques secondes Feu Sauvage qui préparait sa nuit peu confortable et je sprinta jusqu'a mon camp. Comme moi, ce matin je ne m'attendais pas à trouver un chat sur mon territoire, en le rencontrant je pensais qu'il y allait avoir un combat, en fait nan. En partant je ne pensais pas le revoir et apprendre tant de choses sur lui. Que le monde change... Feu Sauvage... Au revoir et bonne nuit...

Je dirigea mon regard vers la chatte qui partait, et s'éloignait de plus en plus. Je l'entendais encore, ses pattes martelais le sol, enfin moi j'avais l'ouïe affinait depuis mon enfance secouée.

" Ok je te le promets, bon ba jte laisse. Au revoir.

- Au revoir et bonne nuit."

Ce sont les derniers mots que je lui avais adressé avant d'enfouir ma tête dans mes pattes, et de m'encormir dans un profond et long sommeil. Le lendemain, je me reveillit, et, comme promis, je partit rejoindre mon Clan, trouvant une excuse pour ne pas être rentrée la veille. Je voyais toujours et en été heureux.

Je lock !


Relis bien les quatres derniers postes =)